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Au cours de ma première phase de stage dans ma classe de cinquième année, j’ai vu un besoin émergé sur le plan du développement cognitif et affectif des enfants. Un nombre important d’entre eux éprouvaient des difficultés avec le concept d’écoute active ; la base de bon nombre d’apprentissages. Certains apprenants coupaient fréquemment la parole à leurs camarades, d’autres s’exprimaient hors sujet et certains avaient tendance à interpréter les propos d’autrui de manière négative, ce qui pouvait, par moment, occasionner des situations conflictuelles.

J’ai fait mon stage à l’automne dans une classe de 4e année à l’école l’Accueil à Saint-Émile. Ayant le souci de motiver ses élèves, l’école offre plusieurs options de classe afin d’essayer de rejoindre le plus d’enfants possible. C’est pourquoi j’enseignais dans une classe que nous appelons une classe « numérique ». Nous avions dans la classe 8 tablettes, 20 ordinateurs et plusieurs robots. Lorsque j’ai réalisé mon PIC, nous avions également un chariot de 26 Chromebook en tout temps dans la classe. Nous essayions d’offrir aux élèves une période avec du numérique par jour.

Jan 16 2020

Description du projet et des observations du contexte

J’ai effectué mon quatrième stage dans une classe de 2e année à l’école St-Cœur-De-Marie à Baie-Comeau. J’avais une classe de 19 élèves dont 8 filles et 11 garçons. J’avais des élèves qui bougeaient beaucoup et qui avaient une très petite capacité d’attention.

Jan 15 2020

À l’automne dernier, j’ai eu l’occasion de réaliser mon stage dans une classe au préscolaire. Dès le début de l’année scolaire, mon enseignante associée et moi avions réalisé que l’ambiance de la classe semblait plutôt négative : il y avait de l’intimidation en classe, les enfants se poussaient, s’insultaient, ne partageaient pas, etc. Bref, il y avait souvent des tensions. Ce scénario s’est déroulé pendant plusieurs mois, jusqu’au moment où j’ai commencé à instaurer mon plan PIC en classe.

Jan 15 2020

Les ateliers

  • Jordanne Cayouette

Cet automne, j'ai effectué mon stage final à l'école François-Thibault à Bonaventure, mon village natal en Gaspésie. La classe dans laquelle j'ai eu la chance d'enseigner est une classe multiniveau de troisième et quatrième années. La disparité de la vitesse d'apprentissage des élèves y est très grande. Parmi les 23 élèves, deux sont en modification de niveau premier cycle et un est en modification de niveau préscolaire. Plusieurs autres présentent des difficultés variées.

Cet automne, j'ai eu la chance de réaliser mon stage IV au préscolaire, à l'école Montessori de Québec. Dans ma classe de stage, il y avait des enfants de trois à six ans. Pendant l'après-midi, les enfants de trois ans faisaient une sieste, mais il n'y avait aucune période de détente pour les enfants de quatre et de cinq ans. J'ai alors pris le temps d'instaurer deux périodes de détente pendant la semaine. Pour commencer, nous avons fait du yoga et des périodes de relaxation (méditation).

J'ai eu une belle surprise à quelques jours du commencement du stage IV : j'ai appris que j'allais avoir une classe multi-niveau, un défi que je trouvais alors assez impressionnant, d'autant plus que les deux groupes d'élèves ne faisaient pas partie du même cycle. Je me retrouvais donc avec une belle classe de 2e et de 3e année pour mon stage final. Mon PIC est étroitement lié au multi-niveau et au respect du rythme d'apprentissage et de réalisation de chacun.

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